Adèle BELMONT

Cantatrice

 AUTEUR - COMPOSITEUR - INTERPRÈTE

 

D’origine des Antilles, Adèle Belmont est née à Paris.

Dans une démarche originale, sa carrière de chanteuse est orientée vers des prestations musicales alliant l’intensité et la virtuosité lyrique, les couleurs envoûtantes du jazz et la ferveur du gospel.

A 5 ans, Adèle écoute son grand-père qui joue du Créole Jazz à la guitare. Elle l’accompagne en dansant et chantant sur ses morceaux favoris. A 20 ans, elle suit des cours d’art lyrique, son maître lui dit qu’elle est soprano léger. Cinq ans plus tard Gabriel Dussurget, ancien Directeur de l’Opéra et fondateur du festival d’Aix en Provence, et Thierry Fouquet de l’Opéra de Paris remarquent sa voix.

Monique Bouvet, chef de chant l’intègre dans sa classe pépinière

 

Amoureuse des différents styles musicaux, Adèle rejoint en 2007 la célèbre Gospel Music Workshop of America. Elle sort diplômée et participe à l’enregistrement « Live » sous la direction d’Eddy A. Robinson, Henry Jackson et Steven Roberts.

Elle compose pour son groupe Belmont’s Gospel Singers avec le compositeur américain William Buthod

 

Adèle marie l’Art Lyrique et le Gospel à la Citadelle Vauban (Belle-Ile-en-mer), la Basilique Sainte Cécile (Albi), l’Église St-Germain-des-Prés, à la Sainte Chapelle, L’American Cathédral, la Conciergerie, Bercy, mais aussi en Angleterre, au Canada et aux Etats-Unis

 

2018 Sortie de son 3ème album Adèle Belmont Quartet « Roots on the Moon, Racines Moune »

Ce titre a un double sens, l’histoire du peuple noir et et de l’esprit créatif de nos prédécesseurs qui sont à la racine du jazz et ma propre histoire, alors que je chantais Mozart, je suis descendue chercher de l’eau dans un restaurant et j’ai entendu la musique de Miles Davis et alors mes racines ont parlé et dansé sous la lune.

J’ai voulu un mélange d’airs où la voix s’exprime pleinement rendant hommage aux grandes voix du jazz avec la reprise du titre de Sarah Vaughan : « I gotta right to sing the blues » ou dans mes compositions telle la balade Man ababa, what do I do, ou d’inspiration gospel comme Fos man ka mandé…

J’ai voulu intégrer également la joie de vivre créole avec des airs dansants tels Man lè musik, Madame Sigonfio…